
Aujourd’hui, il existe des « ateliers libres. » On y apprend le métier de la peinture et du dessin ainsi que leurs prolongements décoratifs. En fait, la notion d’élève n’a plus cours, on y pratique la peinture que l’on veut. Il y a toujours, dans l’atelier, une nature morte disposée, un modèle qui pose pour le nu.
Un jour, on corrige, on discute. C’est toujours apprendre la peinture.
L’expérience prouve qu’il se crée dans l’atelier un esprit qui ne naît pas de ce que l’on enseigne, mais de ce qui s’apprend. A la fin de l’année, au cours d’une exposition générale, un jury extérieur désigne « Le Grand Prix de Port Royal ». Le lauréat voit son premier rêve se réaliser : une exposition personnelle dans une galerie parisienne.